Dans les arènes grandioses de la diplomatie mondiale, aux éclats scintillants des tribunes de l’Assemblée Générale des Nations Unies, résonne l’écho des paroles d’un homme, Félix Tshisekedi.
Un partenaire aussi incomode qu’irrationnel, qui tisse des narratifs d’utopies préalables, invoquant que les spectres des FDLR sont fantomatiques.
C’est ainsi que son discours s’élève, repris par France 24 à travers la voix de son ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula. Mais le voile des illusions se lève, et le Général Ekenge, porte-parole des FARDC, dans l’émission « 30 ans ça suffit », oppose une vérité brute et tranchante : les FDLR, portent une facture très lourde et de responsabilités accablantes dans les massacres à grande échelle en RDC.
Cette rhétorique victimaire, tel un chant sirène, envoûte l’opinion interne, plongée dans une ignorance calculée, mais se heurte aux récifs de l’incrédulité internationale.
La montée en puissance des FARDC, scandée comme un mantra, se pare de chiffres fantaisistes et de dépenses militaires insensées, là où la réalité n’est que chimère. Les rétros commissions, dissimulées sous des dépenses exorbitantes, érodent les fondements de la crédibilité.
Les théories du complot se propagent, tissées avec soin, et les boucs émissaires sont désignés pour masquer les échecs accablants. Les alliances avec les FDLR, les mercenaires, et la légitimation des criminels Wazalendo déchirent les conventions de Genève, révélant une danse macabre de trahisons et de compromis sordides.
Pendant ce temps, l’Alliance Fleuve Congo (AFC) gagne du terrain et conquiert les cœurs des habitants, accueillis partout en libérateurs.
Mais Tshisekedi continue, tel un funambule, avec son discours de haine, la persécution des tutsi congolais, le tribalisme et l’amateurisme au sommet de l’État. Il se met tout le monde à dos, à commencer par la très puissante église catholique, lorsqu’il a voulu instruire une action en justice contre son président, le Cardinal Ambongo, puis une cabale contre le roi de la rumba congolaise, Koffi Olomide.
Les images de la prison de Makala, à Kinshasa, qui ont fuité et fait le tour du monde, ont montré le visage hideux du régime de Tshisekedi.
Comme si cela ne suffisait pas, il s’en prend ouvertement au président kenyan, William Ruto, après avoir mis des bâtons dans les roues de la force Est Africaine et harcelé le commandant kenyan jusqu’à sa démission fracassante.
L’incident diplomatique de Kampala indique l’état d’esprit de Tshisekedi, qui refuse obstinément le dialogue politique pour analyser froidement les causes profondes des crises récurrentes et de l’instabilité à l’Est du pays.
En ce théâtre de l’absurde, la figure de Tshisekedi se dresse, portant l’étendard de la confusion et de la manipulation. Son étoile brille d’une lumière trompeuse, guidant les foules vers des chimères, tandis que les ombres de la vérité demeurent dans l’obscurité.
Et ainsi, dans un lyrisme tragique, se déroule le récit d’un partenaire dont l’irrationalité et les fables égarent un peuple et sèment le doute au cœur de la communauté internationale.
Tel un opéra sans fin, les acteurs se succèdent, les mensonges se superposent, et les vérités se murmurent dans les coulisses.
L’étoile de l’impossible, luisante de promesses vaines, continue de briller, tandis que les chimères de Tshisekedi dansent sur la scène mondiale, un ballet des illusions perdues.
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