Dans l’immensité de la RDC, où les rivières murmurantes tissent des légendes, se dresse la figure controversée de Félix Tshisekedi, un homme couronné non par la vertu, mais par l’artifice.
Son ascension au sommet de la République Démocratique du Congo fut marquée par l’utilisation d’un faux diplôme, dévoilant dès le début un règne teinté de supercherie. Cette éducation prétendue, acquise à l’Institut des Carrières Commerciales à Bruxelles, s’est révélée être une façade, avec vingt années de présence fantôme et aucune réussite académique.
L’élection de 2018, qui a vu Tshisekedi émerger comme le successeur de Joseph Kabila, fut entachée par des accusations de fraude et une personne mal préparée pour la gestion d’un État.
La vérité des urnes fut remise en question par Martin Fayulu, le candidat malheureux, qui, soutenu par des voix à travers le pays, contesta les résultats, insufflant un sentiment d’injustice profondément ressenti même parmi les enfants dans les cours de récréation. Ces derniers, utilisant le terme « VAR », emprunté au football, réclamaient une revue des décisions pour rétablir la vérité.
La gestion des alliances de Tshisekedi s’est révélée tout aussi précaire. Sa décision de retirer sa signature de l’accord de Genève, où une candidature unique de l’opposition avait été convenue, a démontré une désinvolture qui a miné sa crédibilité dès le départ.
Les relations avec ses proches alliés, tels que Vital Kamerhe et Jean-Marc Kabund, se sont rapidement détériorées, se transformant en accusations et en emprisonnements, illustrant une paranoïa croissante au sein du pouvoir.
Sur le plan militaire, son inexpérience a été cruellement exposée. Les confrontations avec l’AFC/ M23 ont révélé des stratégies défaillantes, plongeant le pays dans des affrontements qui ont coûté de nombreuses vies et exacerbé les tensions régionales. Tshisekedi est perçu comme incapable de consolider la paix ou de gérer efficacement les défis sécuritaires, laissant l’armée et les alliés régionaux à bout de souffle.
Tshisekedi, vu comme un complotiste, cherche systématiquement à se positionner en victime des circonstances plutôt qu’en acteur responsable. Son règne est marqué par des tentatives maladroites de manipuler les processus diplomatiques de Luanda et de Nairobi, visant à restaurer la confiance entre la RDC et ses voisins, mais ses actes et discours sont perçues comme insincères ou inefficaces.
Le bilan de son règne, entaché par des scandales, des échecs diplomatiques et militaires, pose la question de sa légitimité et de sa compétence.
Alors que la RDC se débat avec ses démons internes et externes, l’histoire jugera si le mandat de Tshisekedi sera retenu comme une erreur de casting tragique ou un simple chapitre dans la longue quête du pays pour la stabilité et la justice.
Le peuple congolais, épuisé par les conflits et les promesses non tenues, continue de chercher un leader capable de guider la nation vers un avenir meilleur.
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