Félix Tshisekedi, président en exercice de la République Démocratique du Congo, ce vaste pays de presque cent millions d’âmes, se révèle comme un faussaire maladroit, un trompeur sans scrupules, un délinquant sans foi ni loi.
La justice belge a confirmé la fraude : Félix Tshisekedi a usurpé un diplôme de l’Institut des Carrières Commerciales (ICC) de Bruxelles pour se présenter aux élections. Que la vérité éclate au grand jour ! L’attestation qu’il exhibait est désormais reconnue comme fausse. Le directeur de l’établissement a validé cette tromperie et a révélé le dossier de l’étudiant Felix Tshisekedi, inscrit à l’ICC pendant plus de vingt ans, sans jamais passer les examens nécessaires pour obtenir le moindre diplôme. Vingt ans sans réussir une seule année, voilà le comble du paradoxe.
En 2018, par une erreur de jugement, l’ancien président Joseph Kabila a choisi Félix Tshisekedi, lors d’élections déformées par la falsification des urnes. Cette décision s’avère être une méprise, car Tshisekedi semble n’avoir jamais acquis la moindre expérience en politique, en administration ou en gestion. On murmure que ses seules expériences professionnelles furent celles de taximan et de livreur de pizza à Bruxelles, des rôles qui ne préparent guère à la gestion des affaires d’un État. Cette carence laisse une empreinte indélébile sur chacun de ses actes à la tête de la RDC.
Le contentieux électoral a marqué son premier mandat, avec Martin Fayulu clamant sans relâche que la vérité des urnes avait été bafouée, au point que même les enfants dans les cours de récréation en discutaient, en appelant parfois à la VAR du football pour rétablir la vérité.
Tshisekedi apparaît comme un homme dépourvu de foi et de loyauté, ignorant le respect de soi et des autres, ainsi que la valeur de la parole donnée. Lors de la candidature unique de l’opposition à Genève, il fut acteur d’une désinvolture flagrante, retirant sa signature le lendemain de la cérémonie.
Son comportement envers ses partenaires et alliés laisse des cicatrices profondes. Comment a-t-il traité Vital Kamerhe, son partenaire et directeur de cabinet, avant de venir sur Top Congo prétendre que Kamerhe avait été victime d’un complot ? Quel sort a-t-il réservé à Jean-Marc Kabund, dont le soutien fut crucial à son ascension politique, au point que tout le monde est d’avis que son soutien a été trahi dans les méandres du pouvoir. La fidélité à ses alliés semble être un concept étranger à Tshisekedi, dont le parcours est marqué par des alliances brisées et des gestes de trahison.
Ainsi, Félix Tshisekedi se dresse comme un personnage dont le règne est empreint de mystères et de conflits. Sa gestion de la RDC, déjà critiquée par des accusations de fraude et des alliances rompues, continue d’alimenter les débats et les désillusions.
Le président, dont l’image est ternie par des accusations de fausse diplomatie et une administration chaotique, semble naviguer dans un océan de turbulences, avec pour seules étoiles la méfiance et la désillusion de ses compatriotes.
Que l’histoire jugera de ses actions, alors que le peuple congolais attend, avec espoir ou désespoir, les vérités cachées derrière les façades du pouvoir.
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