Les carnages se poursuivent sous le règne implacable de Félix Tshisekedi, semblables à des crimes contre l’humanité, avec en toile de fond des accusations de génocide, tout cela dans un silence accablant de cette fameuse communauté internationale.
Sous les discours enflammés de haine, les appels à la violence, la désignation d’un ennemi intérieur imaginaire, les prétextes fallacieux d’évasion, le chaos orchestré et la garantie d’impunité, Tshisekedi tue, massacre et extermine son propre peuple, enveloppé dans une indifférence quasi-totale.
La tragédie de la prison de Makala, les 200 vies ensevelies sous les balles près de Goma, sous le regard froid des FARDC et des criminels Wazalendo, les horreurs de Goma, orchestrées par la garde présidentielle, les massacres dans l’église de Kasindi, Kishishe, les bombes dévastatrices des Wazalendo dans le camp de Mugunga, les massacres de jeunes à Lubumbashi, les ADF, CODECO, les villages des Tutsis congolais brûlés, les razzias de bétail, le cannibalisme, les luttes fratricides entre Teke et Yaka au Kwamouth. Le sang coule à flot dans cette terre rongée par la volonté de son président.
Tshisekedi nie l’évidence des crimes contre l’humanité, ferme les yeux sur la souffrance de son peuple. Des milliers d’âmes attendent justice, réparation, reconnaissance. Un vœu pieux, hélas.
Et au-delà de ces crimes, c’est un génocide qui s’épanouit contre les Hema, les Tutsis congolais, les Banyamulenge, dénoncé par un collectif d’avocats devant les juridictions nationales et internationales.
À la suite de la tragédie de la prison de Makala, le ministre de la Justice annonça d’abord deux morts. Ce chiffre s’est transformé en 129, victimes d’une bousculade, de suffocation, de viols. Mais une question se pose : qui a coupé l’électricité ? Qui a déclenché cette nuit funeste ?
Des vidéos révèlent la violence brutale de cette nuit. Les coups de feu résonnèrent durant des heures. Human Rights Watch estime entre 800 et 1 000 morts, alors que l’État se tait. Justice, réparation ? Un rêve brisé.
Les femmes courageuses ont dénoncé les viols qu’elles ont subis des mains des militaires, venus en mission commandée.
À Goma, l’inhumation mystérieuse de 200 corps dans un camp des FARDC laisse planer un nuage de suspicion. Pourquoi ces morts ? Qui sont-ils ? L’obscurité des autorités alimente le doute.
Le 30 août 2023, la garde présidentielle a ouvert le feu sur les Wazalendo, des adeptes mystiques. 57 vies envolées, peut-être plus. Un crime contre l’humanité, un génocide en devenir, et la justice qui s’enlise dans le néant.
Les Congolais de l’Est vivent dans la terreur, armés par des criminels enivrés de violence. La colère gronde, mais l’État est sourd.
À Kasindi, une bombe explosa dans une église. Tshisekedi dansait le même soir. Une désinvolture qui glace le sang.
À Lubumbashi, les FARDC tuèrent des jeunes militants. Les familles pleurent en silence. Aucune justice, aucun répit.
En Ituri, les Hema tombent sous les coups de milices soutenues par l’État. Le massacre de Kishishe, attribué faussement au M23, témoigne de la complexité de ces guerres. Et pourtant, la MONUSCO, sans enquête ni vérification, lança un communiqué précipité. La presse sensationnelle s’en empara, alimentant la confusion.
Pendant ce temps, Tshisekedi bénéficie des largesses de Bob Menendez, sénateur américain, lobbyiste éternel du président congolais, accusé de corruption.
Et pourtant, après les carnages de Goma, de Makala, où est l’indignation internationale ? Où sont les sanctions, les enquêtes ? Le silence est assourdissant, la communauté internationale se voile la face.
Les pogroms sont là, visibles, documentés, mais la République Démocratique du Congo est condamnée à brûler tant que ses dirigeants refuseront d’affronter les démons qui la rongent.
Ce double discours, ces leçons de morale vidées de sens, révèlent la complaisance des puissants. Les crises sont jugées au gré des intérêts, des alliances, et les droits de l’homme, eux, peuvent attendre. La RDC brûle, et personne ne tend la main.
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